« La légèreté bien comprise augmente l’impulsion (…). L’animal est d’autant plus disposé à se porter en avant, à s’actionner, que toute appréhension de la main a disparue par ce seul fait qu’il goûte son mors. Rien ne s’oppose donc plus à sa franchise, et il gagne d’autant plus en impulsion que sa légèreté se complète et se confirme davantage. Ce qui permet de dire que non seulement la légèreté bien comprise n’éteint pas l’impulsion mais qu’elle la favorise au contraire, et qu’elle met en avant les chevaux qui la possèdent et la gardent facilement. » (E. Beudant)
Photo Gwenaëlle Gressier